Der Quesenbandwurm (Taenia multiceps, veraltet: Multiceps multiceps) ist ein Bandwurm, dessen Endwirt Hunde sind. Adulte Quesenbandwürmer besiedeln den Darm der Endwirte. Zwischenwirte sind Pferde, Rinder, Schafe, Ziegen, Schweine, Nagetiere, Kaninchen, Hirsche und Menschen, bei denen sich die Finne (Coenurus cerebralis, Gehirnblasenwurm) vor allem im Gehirn ansiedelt, bei Kaninchen und Nagern auch in der Unterhaut oder im Bindegewebe der Skelettmuskeln. Bei Schafen verursacht seine Finne die „Drehkrankheit“ (Coenurose), weshalb er auch als Schafband- oder Drehwurm[1] bezeichnet wird.
Das Rostellum hat 22–34 Haken. Die Hoden liegen in zwei horizontalen Lagen, erreichen nicht das vordere Ende des Bandwurmgliedes. Die Genitalpore liegt seitlich, kurz hinter der Mitte des Bandwurmgliedes und ist leicht erhaben. Der Uterus hat 9–26 seitliche Hauptausleger, die etwas abgerundet sind und dem Glied ein charakteristisches Aussehen verleihen.
Die Finne ist bis zu 10 cm groß, besitzt eine zarte Wand und enthält gruppenweise angeordnete Protoscolices.
Der Quesenbandwurm (Taenia multiceps, veraltet: Multiceps multiceps) ist ein Bandwurm, dessen Endwirt Hunde sind. Adulte Quesenbandwürmer besiedeln den Darm der Endwirte. Zwischenwirte sind Pferde, Rinder, Schafe, Ziegen, Schweine, Nagetiere, Kaninchen, Hirsche und Menschen, bei denen sich die Finne (Coenurus cerebralis, Gehirnblasenwurm) vor allem im Gehirn ansiedelt, bei Kaninchen und Nagern auch in der Unterhaut oder im Bindegewebe der Skelettmuskeln. Bei Schafen verursacht seine Finne die „Drehkrankheit“ (Coenurose), weshalb er auch als Schafband- oder Drehwurm bezeichnet wird.
Taenia multiceps (Ténia multiceps en français) est une espèce de parasites de la famille des Taeniidae qui infecte l'intestin grêle du Chien et d'autres canidés. Sa larve, le cénure, se développe dans l'encéphale du Mouton, entraînant l'une des formes de tournis (la forme la plus connue de tournis étant provoquée par un prion), et, exceptionnellement dans celui de l'Humain déterminant alors la cénurose cérébrale (nom provenant de celui de la larve).
Peu répandu, Taenia multiceps se rencontre dans les zones d'élevage du mouton. Redoutable par sa localisation et le pronostic très sombre qu'elle entraîne, la parasitose humaine reste tout à fait exceptionnelle.
Selon NCBI (7 novembre 2020)[2] :
L'adulte, relativement court, mesure de 50 à 100 cm ; la larve, ovoïde, atteint en moyenne la taille d'un œuf de poule.
Le Mouton - et l'Humain - s'infectent en ingérant les embryophores disséminés par le chien. L'embryon exacanthe ne peut évoluer, chez l'un comme chez l'autre, qu'une fois atteint le tissu cérébral, par la circulation sanguine ; là, il se transforme en larve vésiculeuse, le "cénure", qui bourgeonne directement à sa face interne un certain nombre de scolex, la multiplication larvaire étant d'ordre 1 (1 embryophore donne n scolex). Le chien se contamine en mangeant les cervelles, rejetées, des moutons morts du tournis.
Chez la Chèvre, hôte secondaire possible aussi, le cénure peut infecter plusieurs sortes de tissus.
Le cénure jouant le rôle de corps étranger intracérébral progressivement expansif, la cénurose a un tableau de tumeur intra-crânienne, variable selon la localisation du parasite. L'évolution habituelle se fait vers le coma et la mort.
En pratique, le diagnostic de certitude ne sera obtenu que très tardivement, soit lors de l'opération (diagnostic per-opératoire) soit après le décès du malade (diagnostic de nécropsie).
Le traitement repose uniquement sur la chirurgie intra-crânienne dont on connaît les limites.
Notons de plus que quelques autres ténias du genre multiceps ont des larves évoluant normalement chez le Lapin et le Lièvre et qui peuvent, très exceptionnellement, déterminer chez l'Humain une cénurose sous-cutanée bénigne.
Taenia multiceps (Ténia multiceps en français) est une espèce de parasites de la famille des Taeniidae qui infecte l'intestin grêle du Chien et d'autres canidés. Sa larve, le cénure, se développe dans l'encéphale du Mouton, entraînant l'une des formes de tournis (la forme la plus connue de tournis étant provoquée par un prion), et, exceptionnellement dans celui de l'Humain déterminant alors la cénurose cérébrale (nom provenant de celui de la larve).