Taxonomic history
See also: Clark, 1951 PDF: 111.
Myrmecia apicalis is the only Australian bull ant species that is not native to Australia. The Myrmecia apicalis is the only species to be found on a different country, with two collections founded on New Caledonia. It was described in 1883.[1]
Not many specimens have been collected, but their size is around 13 millimetres. Their appearance is similar when compared to the Myrmecia pilosula. Details of other specimens such as their males are not clear. The only known details of the Myrmecia apicalis are from specimens of workers.[2][3]
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(help) Myrmecia apicalis is the only Australian bull ant species that is not native to Australia. The Myrmecia apicalis is the only species to be found on a different country, with two collections founded on New Caledonia. It was described in 1883.
Not many specimens have been collected, but their size is around 13 millimetres. Their appearance is similar when compared to the Myrmecia pilosula. Details of other specimens such as their males are not clear. The only known details of the Myrmecia apicalis are from specimens of workers.
Myrmecia apicalis est une espèce de fourmi originaire de Nouvelle-Calédonie, contrairement à toutes les autres espèces du genre Myrmecia qui sont originaires d'Australie. L'espèce est décrite pour la première fois en 1883[note 1].
Du fait de son agressivité, cet insecte social est aussi connu sous le nom vernaculaire de « fourmi bouledogue »[1].
La fourmi bouledogue appartient au genre Myrmecia, à la sous-famille Myrmeciinae.
La plupart des ancêtres des fourmis du genre Myrmecia n'ont été retrouvés que dans des fossiles, à l’exception de Nothomyrmecia macrops, seul parent vivant actuellement[2].
La taille moyenne de Myrmecia apicalis est d'environ 13 mm de long [3]. Sa morphologie générale, un corps noir et des mandibules jaunes, la rapproche de Myrmecia pilosula[4].
Comme toutes les fourmis du genre Myrmecia, l'espèce Myrmecia apicalis engendre des ouvrières reproductrices (gamergates) pouvant assurer la survie d'une colonie en l'absence de reine[5],[note 2].
Myrmecia apicalis est une espèce ancestrale rarissime[note 3] qui peuple quelques sites de l'île des Pins et qui est probablement déjà éteinte sur la Grande Terre, île principale de l'archipel néo-calédonien[6].
Comme toutes les fourmis du genre Myrmecia, les ancêtres de l'espèce Myrmecia apicalis étaient présents partout sur la planète au temps du Gondwana, il y a des dizaines de millions d'années. De nos jours, on ne trouve plus Myrmecia apicalis qu'en Nouvelle-calédonie[7]. Elle est surnommée le « Cagou du monde des insectes » par Edward O. Wilson, le célèbre myrmécologue, fondateur de la sociobiologie, car c'est une espèce relique menacée par une espèce envahissante qui a déjà colonisé de nombreuses îles du Pacifique : la fourmi électrique, originaire du bassin amazonien d'Amérique du Sud[7],[note 4].
Myrmecia apicalis est une espèce de fourmi originaire de Nouvelle-Calédonie, contrairement à toutes les autres espèces du genre Myrmecia qui sont originaires d'Australie. L'espèce est décrite pour la première fois en 1883.
Myrmecia apicalis is een mierensoort uit de onderfamilie van de Myrmeciinae.[1][2] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1883 door Emery.
Bronnen, noten en/of referenties